Test – Tern Orox : le vélo cargo longtail de tous les superlatifs
Le Tern Orox est un vélo cargo longtail électrique hors norme : robuste, puissant et taillé pour l’aventure comme pour la ville, il conjugue polyvalence extrême, confort et capacités de charge XXL.
Pour
- Vélo cargo électrique réellement baroudeur.
- Cadre renforcé, capacité de charge jusqu’à 210 kg.
- Moteur Bosch CX performant et personnalisable.
- Confort et stabilité grâce aux pneus 4″.
- Transmission Rohloff + courroie (entretien réduit).
- Connectivité avancée via Bosch Smart System.
- Large catalogue d’accessoires.
- Autonomie importante avec batterie 800 Wh (et dual-battery).
Contre
- Poids élevé et gabarit encombrant.
- Pneus bruyants sur route.
- Maniabilité réduite dans les espaces exigus.
- Prix très élevé, surtout en Rohloff.
- Manette tournante moins efficace en offroad.
- Absence de tige de selle télescopique.
Avec l’Orox, Tern signe un vélo cargo électrique unique, pensé pour les aventuriers mais également accessoirisable pour le quotidien des familles. Stabilité, confort et puissance sont au rendez-vous, mais son poids, son gabarit et surtout son prix très élevé en réservent l’accès à une niche très fermée. Le plaisir, quand à lui, est indubitablement au rendez-vous, avec des possibilités presque infinies pour profiter de son vélo en toutes circonstances.
Présentation
Tern est l’une des grandes marques spécialistes des vélos utilitaires pensés pour le quotidien. Elle dispose à ce titre d’une vaste gamme de vélos porteurs, dont l’Orox est le représentant le plus musclé.

Pour résumer, c’est sans doute le seul vélo cargo longtail électrique du marché à réellement mériter les qualificatifs de « baroudeur » et « aventurier ». C’est en tout cas l’un des seuls qui puisse, chargé comme un mulet d’équipements ou de passagers, se balader dans la boue en forêt, affronter les terrains sablonneux et ne pas craindre un petit matelas de neige. Sa capacité de charge est de 210 kg sur route, 180 kg en tout-terrain. Le porte bagages arrière supporte 100 kg.

Qui peut le plus peut le moins, et l’Orox est également configurable – équipements à la clé – pour accompagner les familles en ville au quotidien jusqu’à l’école, la salle de sport, le bureau de poste et le marché.
Ce gros vélo longtail assumant d’être « badass » est disponible en deux versions équipées de roues de 27,5″. Des déclinaisons 29″ existent également. L’Orox S12 est équipé d’une transmission Shimano Deore XT 12 vitesses, tandis que l’Orox R14 sur lequel nous avons eu le privilège de pouvoir rouler quelques semaines est, lui, équipé d’une transmission à courroie avec un prestigieux moyeu Rohloff Speedhub 14 vitesses. Un combo qui améliore grandement la durabilité et réduit l’entretien.

La motorisation est, elle, confiée à un moteur Bosch Performance Line CX compatible avec le Smart System. Il délivre jusqu’à 85 Nm de couple, 600 W de puissance en crète et offre une assistance au pédalage pouvant aller jusqu’à 340 %. Notez qu’il s’agit d’un Perf Line de 4e génération, non éligible à la dernière mise à jour de puissance de Bosch.
Volontaire pour le hors piste, le Tern Orox fait l’impasse sur les suspensions, s’appuyant à la place sur d’énormes pneus de 4″ de large, soit 10 cm. Un véritable fatbike monté sur de gros coussins d’air. En taille M, le Tern Orox se destine aux pilotes de 1m55 à 1m85. En taille L, il vise les cyclistes mesurant jusqu’à 1m95. Son poids, à vide, est donné à 37,7 kg.

A vélo d’exception, prix (très) élevé. La version S12 porte une étiquette affichant un tarif de 6800 € tandis que l’Orox R14 est vendu 9300 €. Des prix auxquels il conviendra d’ajouter ceux des équipements à sélectionner dans le catalogue Tern, voir celui d’une seconde batterie si l’on est joueur et que l’on souhaite partir pour de longues, très longues, journées d’aventure.
Confort
L’Orox ne laisse personne indifférent. Parce que les gens nous entendent de loin arriver à son guidon (avec de tels pneus, c’est logique). Et parce qu’une fois qu’ils nous ont vu, ils sont forcément intrigués par ce gros fatbike aux allures de vélo cargo longtail. Un mélange des genres qui détonne et qui (au-delà de la taille d’un vélo qualifié « d’énorme » par plusieurs personnes de notre entourage) a l’air de plaire. On ne compte plus le nombre de commentaires sur le « look d’enfer » d’un vélo qui « déchire ».

Tout n’est pas qu’une question de style et si l’Orox de Tern a ce design de gros vélo porteur paré pour le tout terrain, c’est qu’il a été conçu pour faire face aux situations extrêmes. Son cadre en aluminium, par exemple, est renforcé et a réellement été testé dans des conditions où il transporte 210 kg par l’institut allemand EFBE. Il s’agit, en revanche, d’un vélo tout rigide, démuni de suspension. Pour améliorer confort et polyvalence , on aurait pu penser que la marque chercherait à proposer des mécanismes d’amorti, mais elle s’en remet exclusivement aux gros pneus du vélo.

Il faut dire qu’en matière de coussins d’air, on est servi : des pneus à crampons de 4″ de large – une dizaine de centimètres – c’est vraiment énorme. Même gonflés à 1,5 bars en usage urbain pour gagner un peu en rendement sur le bitume, ça nous paraît trop dur. On peut en effet partir sur des pressions de gonflage très basses et profiter d’un niveau de confort et d’une stabilité du vélo vraiment appréciables. Les aspérités de la route sont gommées et au guidon du vélo, on se sent parfaitement en contrôle. Entre 0,8 et 1 bar au quotidien, même en roulant chargé à l’arrière, ça passe très bien.

La fiche technique de l’Orox fait apparaître des pneus Johnny Watts de chez Schwalbe, un pneu idéal pour des vélos très polyvalents façon SUV. Ils offrent de bonnes garanties en tout terrain, une bonne résistance à la crevaison et ont une bande de roulement plus silencieuse sur l’asphalte. Notre modèle de test est, lui, équipé de modèles Snow Ball de chez Veetire Co. Des pneumatiques qui pèse plus d’1,5 kg chacun mais qui sont adaptés aux velléités d’aventure du vélo. Avec les pneus Schwalbe en première monte, les acheteurs de l’Orox bénéficieront sans doute d’un plus grand silence de roulage sur asphalte

En enfourchant l’Orox, on trouve une position semi-sportive à mi-chemin entre le VTT et une posture plus assise, typique des vélos cargo longtails. Cela demande un léger temps d’adaptation car si l’on se sent assez assez bas, on a tout de même une selle assez fine et échancrée qui invite au pédalage et, surtout, un cintre très large qui impose une approche assez singulière sur ce créneau. Ce guidon de 800 mm de large (!) se termine de poignées Ergon en caoutchouc offrant un très bon grip.

S’il est un des vélos longtails les plus imposants du marché, ce qui a des répercussions sur son agilité, les manipulations et autres manœuvres au quotidien, il est indéniablement plaisant à rouler grâce à un très bon confort et une excellente stabilité.

Les roues de 27,5″ et l’empattement très long n’y sont pas pour rien non plus. C’est forcément un vélo totalement overkill pour aller chercher le pain (même s’il s’accommode de cette tâche non sans un certain style), mais ces qualités ont tout de suite plus d’intérêt lorsque l’on roule à deux ou très chargé, et plus encore lorsque l’on quitte la route. C’est très rassurant pour soi et son/ses passagers, et on se sent pousser des ailes en sentant que l’on peut passer vraiment partout.
Le seul ajout dont on aurait aimé pouvoir profiter, c’est une tige de selle télescopique qui aurait eu un double intérêt sur cet Orox : faciliter la mise en selle et les arrêts en permettant de poser les deux pieds au sol (rassurant lorsque l’on est chargé) ; et autoriser davantage de changements de position au fur et à mesure de ses balades en tout terrain.
Performances
A près de 40 kg hors équipements, l’Orox est un beau bébé. Forcément, pour emmener un tel vélo, Tern a opté pour un moteur central, à savoir le Performance Line CX de chez Bosch. Un moteur développant jusqu’à 85 Nm de couple, compatible avec le Système Intelligent de Bosch, mais pas éligible à la mise à jour des derniers moteurs CX pouvant grimper à 100 Nm de couple et 750 W de puissance en crète.

De quoi, malgré tout, offrir une bonne dose de puissance pour affronter les nombreux obstacles auxquels l’Orox sera forcément confronté. Nous disposons sur notre modèle de test d’une transmission à courroie, avec un moyeu arrière Rohloff à 14 vitesses, pour un démultiplicateur de développement de 526 %. Un moyeu et une courroie qui réduisent beaucoup l’entretien du vélo et restent propres, ce qui est surtout pertinent pour un usage citadin, moins pour un vélo destiné au tout terrain.

Si ce moyeu Rohloff est largement sous exploité en ville au quotidien, dès que de fortes difficultés s’amorcent, que le dénivelé devient costaud ou que le terrain devient beaucoup plus technique, il gagne en utilité en offrant de petits développements bien pratiques et un échelonnement des vitesses assez fin, appréciable sur ces derniers. Le fait de pouvoir passer les vitesses à l’arrêt et de pouvoir compter sur la fiabilité de ce composant sont des points intéressants, mais si la manette tournante est agréable à utiliser en ville, on aurait tout de même préféré des gâchettes sur un vélo tel que l’Orox, plus réactives quand la balade gagne en intensité.

Autres composants essentiels sur lesquels Tern n’a pas lésiné : les freins. On retrouve des freins à disque hydrauliques Magura MT5 à quatre pistons qui viennent mordre des disques de 203 mm. Avec des leviers à 2 doigts, c’est idéal dans une utilisation loisir, que ce soit en ville ou lors de balades plus aventureuses. En tout cas, quelle que soit la situation, nous n’avons jamais pris en défaut ces freins très fiables et performants, capables de freiner et stopper efficacement un Orox même bien chargé. Un gage de sérieux et de sécurité.


Au global, rouler avec cet Orox est plutôt agréable. S’il est fatalement lourd et imposant à manipuler dans de petits espaces, une fois à son guidon c’est un vélo qui donne le smile. Il y a clairement un côté jouissif à déambuler sur un vélo qui passe partout et peut faire autant de choses. D’autant qu’une fois ses marques prises et grâce à l’assistance électrique, il reste suffisamment agile pour être efficace en ville, ultra-polyvalent pour la vie de tous les jours et/ou les aventures bikepacking, et permet de prendre pas mal de plaisir dès que l’on s’engage sur les sentiers.

La largeur du cintre qui peut sembler exagérée apporte en réalité un excellent contrôle du vélo en off-road, où ses énormes pneus offrent du confort, de la traction et permettent de franchir les terrains un peu cassants sans mal. En ville, c’est également un atout car on sait que là où le cintre passe, tout passe (jusqu’aux petons de nos passagers). On peut donc s’engager d’autant plus facilement dans certaines manœuvres serrées.

Nous n’avons pas été en mesure de mettre à l’épreuve l’Orox sous la neige ou dans des conditions très humides, mais en forêt, sur les cailloux, dans des terrains sablonneux, il a toujours su faire face sans galérer. Il reste évidemment beaucoup plus pataud qu’un VTT, la comparaison n’a pas lieu d’être, mais il est bien ce vélo qui – chargé comme un mulet – peut passer (presque) partout pour assurer des journées de balade en pleine nature. De ce point de vue là, le contrat est parfaitement rempli.

D’autant qu’avec la personnalisation des modes d’assistance proposée par Bosch sur son Système Intelligent, on peut ajuster le comportement de chacun des modes sélectionnés pour que le vélo réponde exactement comme on le souhaite.

Typiquement, cela permet de se créer un profil équilibré pour la ville, pêchu au démarrage pour lancer le vélo avec un niveau d’assistance correct ensuite pour ne pas transpirer même lorsque l’on transporte un passager. On pourra aussi personnaliser un profil plus sportif pour les fois où l’on part se balader seul et à vide sur les sentiers avec son vélo. Et tout ça en pouvant passer en Turbo à n’importe quel moment face à une grosse bosse.
Il n’y a que dans les montées à fort dénivelé que l’on sent les limites du moteur. Des gros pourcentages qu’il faudra franchir en mettant un peu plus de cuisses et/ou en acceptant de monter un peu moins vite que les 25 km/h auxquels on est habitué à évoluer le reste du temps.
Equipement
Vélo haut de gamme et Bosch Smart System obligent, Tern équipe l’Orox de commandes modernes et fonctionnelles. On retrouve sans surprise la commande moteur Led Remote qui est idéale pour piloter le vélo, changer de mode d’assistance, naviguer entre les écrans, etc.
Elle est ici associée à l’écran couleurs Kiox 300. Vue la taille du vélo et la largeur du cintre, on aurait préféré un modèle Kiox 500 de plus grande diagonale, mais on se satisfait de cet écran amovible qui, avec la fonction eBike Lock, peut aussi faire office de « clé » pour verrouiller/déverrouiller le moteur.

Bonne nouvelle, le ConnectModule est de la partie. C’est lui offre la connectivité au vélo et donne accès aux options de l’abonnement Flow+. De quoi profiter de la géolocalisation, d’une navigation améliorée et d’eBike Alarm pour mieux protéger son vélo contre le vol. Un essai de 12 mois est offert pour toute activation lors de l’achat du vélo, et l’abonnement est ensuite facturé 39,99 € par an.

L’application Flow est, elle, totalement gratuite évidemment et permet de gérer son VAE de manière optimale, qu’il s’agisse d’en paramétrer les performances, avoir recours à la navigation, connaître ses composants, suivre son entretien, etc.

Sur le volet cycle, le Tern Orox est livré avec un équipement plutôt complet, même s’il reste accessoirisable à l’envie en ayant recours aux très nombreux add-ons proposés par Tern. C’est l’une des forces de la marque qui, année après année, a développé une gamme d’accessoires ultra complète pour répondre à tous les besoins, du transport de personnes au transport de courses, sans oublier les animaux. L’Orox embarque même un attache pour le remorquage, histoire d’offrir des capacités utilitaires vraiment XXL.

Ainsi, au porte-bagages renforcé (100 kg de capacité), aux garde-boues efficaces, à la béquille double apportant de la stabilité à l’arrêt et aux éclairages performants s’ajoutent, sur notre vélo de test prêté par la marque : la Captain’s Chair pour transporter un adulte et jusqu’à deux enfants (250 €), les cale-pieds Stow Decks escamotables (140 €) et les gigantesques sacoches 52 litres qui offrent un volumen de chargement total de 104 litres ! En y ajoutant le porte-bagages avant, on obtient un vélo vraiment doué pour le chargement.



A noter que Tern a su tirer profit de l’emplacement de la grosse batterie PowerPack 800 Wh pour intégrer une sacoche de cadre livrée de série avec l’Orox. Très pratique pour ranger quelques affaires, une paire de gants, voire même stocker un antivol lorsque l’on roule, etc. Lorsque l’on se contente d’une seule batterie, on a vraiment pas mal de place à exploiter.
Autonomie et charge
Le Tern Orox a été l’un des premiers vélos à avoir été proposé avec la batterie 800 Wh de Bosch. Une batterie de grande capacité qui peut, selon le fabricant, offrir jusqu’à 161 km d’autonomie. Et puisque l’Orox dispose de deux emplacements de batterie sur son cadre (un derrière la tige de selle, l’autre sur le tube diagonal, caché dans la sacoche de cadre), il peut embarquer jusqu’à 1600 Wh de batteries pour 322 km d’autonomie maximale.

Nos tests sont basés sur une seule batterie de 800 Wh PowerPack, qui offre déjà une belle autonomie au vélo même si son poids élevé et le manque de rendement de ses énormes pneus se fait sentir. En roulant chargé la moitié du temps, mais en restant uniquement sur le mode d’assistance le plus élevé, nous parcourons environ 70 km sur une charge. C’est cohérent avec ce que l’on sait des performances énergétiques des systèmes Bosch et les contraintes du Tern Orox.
En s’amusant davantage, en allant chercher des kilomètres en forêt et en ajoutant du dénivelé à nos sorties, nous tournons plutôt autour des 60 km, ce qui correspond déjà à de belles balades. Sachant que l’on pourra, évidemment, passer sur des modes d’assistance intermédiaires pour améliorer son autonomie.

Comme toujours, rappelons que ces chiffres sont surtout là pour apporter des ordres de grandeurs et que l’autonomie d’un vélo électrique dépend de nombreux paramètres (météo, dénivelé, mode d’assistance, poids et forme du cycliste, chargement…).
Côté charge, l’Orox est livré avec un chargeur rapide Bosch 4A qui permet de passer de 0 à 100 % de batterie en 7 heures environ, ce qui reste raisonnable compte tenu de la quantité d’énergie embarquée. Temps de charge évidemment allongé pour qui disposerait d’une seconde batterie.
Conclusion
Pour
- Vélo cargo électrique réellement baroudeur.
- Cadre renforcé, capacité de charge jusqu’à 210 kg.
- Moteur Bosch CX performant et personnalisable.
- Confort et stabilité grâce aux pneus 4".
- Transmission Rohloff + courroie (entretien réduit).
- Connectivité avancée via Bosch Smart System.
- Large catalogue d’accessoires.
- Autonomie importante avec batterie 800 Wh (et dual-battery).
Contre
- Poids élevé et gabarit encombrant.
- Pneus bruyants sur route.
- Maniabilité réduite dans les espaces exigus.
- Prix très élevé, surtout en Rohloff.
- Manette tournante moins efficace en offroad.
- Absence de tige de selle télescopique.
Note
Avec l’Orox, Tern signe un vélo cargo électrique unique, pensé pour les aventuriers mais également accessoirisable pour le quotidien des familles. Stabilité, confort et puissance sont au rendez-vous, mais son poids, son gabarit et surtout son prix très élevé en réservent l’accès à une niche très fermée. Le plaisir, quand à lui, est indubitablement au rendez-vous, avec des possibilités presque infinies pour profiter de son vélo en toutes circonstances.
Confort
Performances
Equipement
Autonomie
Caractéristiques
-
Prix6799 €
-
Matériau cadreAluminium
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Position moteurCentral (pédalier)
-
MoteurBosch Performance Line CX
-
Couple moteur85 Nm
-
EcranBosch Kiox 500
-
Capacité batterie800 Wh
-
Diamètre de roue27.5"
-
Pneus
Schwalbe Johnny Watts 4"
-
Type de freinsDisque hydrauliques
-
Freins
Magura 4 pistons
-
Dérailleur arrière
Rohloff 14 vitesses (courroie) ou Shimano Deore XT 12 vitesses (chaîne)
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Tige de selle suspendueNon
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Garde-boueOui
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Antivol de cadreNon
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Porte-bagageOui
-
Poids37 kg
En banlieue parisienne, ce quadra père de 2 enfants pratique le vélo au quotidien de manière (assez) sportive, sur route et en dehors. A des envies de longues randonnées à la découverte de nouveaux paysages.