Test – Voltaire Rivoli, le vélo électrique au style rétro à deux vitesses automatiques
Voltaire signe, avec le Rivoli, une montée en gamme tout en conservant son ADN : courroie, simplicité, style rétro chic. Un vélo électrique urbain façon « dandy ». Est-ce que ça suffit pour nous convaincre ? Verdict.
Pour
- Look singulier et assumé (qui peut déplaire).
- Finitions avenantes.
- Pneus qualitatifs.
- Simple à prendre en main.
- Moteur efficace, adapté à la ville.
- Silence et entretien simplifié par la courroie.
- Autonomie correcte.
Contre
- Pédales au grip perfectible.
- Un vélo lourd à manipuler.
- Compteur peu lisible au soleil.
- Eclairage arrière un peu trop discret.
- Batterie lourde et encombrante.
- Temps de charge.
Le style rétro chic du Voltaire Rivoli est clivant. Certains adorent, d’autres détestent. Une chose est sûre, il ne passe pas inaperçu. Autre enseignement de notre test, c’est un bon vélo de ville électrique, simple dans son approche, facile à prendre en main, efficace grâce à sa motorisation volontaire à deux vitesses automatiques. Le pédalage est naturel, le côté détendu de la position est redynamisé par l’agrément du moteur et l’autonomie est correcte. Bénéficiant de finitions travaillées, le vélo est globalement bien pensé et particulièrement silencieux. Il reste tout de même lourd et sa batterie n’est pas pratique, ce sont ses deux principaux défauts.
Présentation
Voltaire est une marque française qui s’est lancée sur le marché du vélo électrique urbain en commercialisant son premier vélo en 2021. Là où l’on a vu débarquer beaucoup de nouveaux acteurs aux vélos qui se ressemblent tous, Voltaire a l’avantage de se démarquer avec une proposition forte et un parti pris esthétique marqué.
Le Rivoli, dernier né de la marque que nous testons ici, n’échappe évidemment pas à ce constat. Il adopte des lignes élégantes et rétro assumées, joue des contrastes avec ses équipements chromés ainsi qu’avec la couleur cuir de sa selle et de ses poignées.
Un vélo assemblé au Portugal, très simple dans son approche, décliné en quatre couleurs (vert amande, crème, bleu nuit et vert anglais) et deux tailles (26 et 28 pouces), qui témoigne d’une montée en gamme sur pas mal de composants (moteur, batterie, pneus…) par rapport aux Bellecour et Legendre. Le Rivoli est ainsi présenté comme le plus abouti des vélos Voltaire. Il est aussi le plus cher, présenté au tarif de 2790 €.
Si l’on met de côté son look singulier, c’est un vélo qui est en concurrence avec d’autres VAE urbains à courroie vendus entre 2000 et 3000 €, et ils sont nombreux. On pense par exemple au Shift 2 de Shiftbikes, au iWeech Promenade, au Tenways CGO009 voire au Cowboy Cruiser ST.
Confort
Contrairement au Voltaire Legendre (cadre haut) ou au Bellecour (cadre mid), le Rivoli est un vélo à cadre ouvert proposant un vrai enjambement bas, autour des 45 cm. En jupe ou pantalon serré, la mise en selle reste ainsi très aisée, sachant que cette forme de cadre va aussi faciliter les arrêts fréquents, comme il y en a en ville.
Comme le Bellecour, le Rivoli est également proposé en deux tailles, chaussé de roues 26 ou 28 pouces. Le plus petit modèle est conseillé pour les personnes mesurant entre 1,55 et 1,75 mètre, tandis que la taille standard sera a privilégier au-delà. Il est vrai qu’en dépit de sa position de conduite assez droite, le Rivoli est haut perché. Mesurant 1,85 m, je suis parfaitement à mon aise sur le 28″.
Cadre et fourche en aluminium inspirent la solidité, tout comme les équipements montés sur le vélo. Le Rivoli bénéficie de soudures partiellement lissées à la finition honnête et d’un travail d’intégration réussi, en témoignent les efforts réalisés autour de la potence ou les éléments de la selle (qui cache l’accès à la batterie).
La gaine de frein avant est acheminée dans le fourreau gauche de la fourche tandis que les câbles partant vers l’arrière s’insèrent en haut du tube diagonal. Cela participe aux lignes assez simples et épurées du vélo, même si un passage de l’ensemble des câbles au niveau de la potence ou du tube de direction aurait encore amélioré le rendu esthétique.
Quoi qu’il en soit, le vélo ne passe pas inaperçu. En effet, rouler sur ce Rivoli, c’est l’assurance d’engager fréquemment la discussion avec les passants et les autres cyclistes, toujours avec les deux mêmes phrases. C’est soit « tiens, il est sympa votre vélo » ou bien « il est électrique ce vélo à l’ancienne ? ».
Le parti pris esthétique de Voltaire a d’ailleurs divisé les avis autour de nous, entre ceux qui adorent son look rétro chic et ceux qui le trouvent trop marqué pour se sentir attiré. Bref, le Rivoli reste assez clivant : on adore ou on déteste. Un vélo qui a indubitablement du style, mais qui n’ira – justement – pas à tous les styles.
Au-delà de ces questions esthétiques, on est en présence d’un vélo qui offre une position très détendue et qui s’avère relativement confortable, compte tenu du fait qu’il s’agisse d’un vélo rigide, sans suspension.
Son cintre courbé qui favorise une conduite avec le dos droit est terminé de deux poignées en similicuir plutôt agréables et qui n’ont pas le mauvais goût de glisser comme c’est parfois le cas. Sa selle, peut-être un poil trop large, propose un petit rembourrage assez efficace.
Et puis, surtout, ses pneus ballons Schwalbe Big Apple de 55 mm de large offrent un sacré coussin d’air pour gommer les aspérités de la route.
On peut facilement descendre à une pression de gonflage autour des 2 bars, la perte de rendement étant compensée par l’assistance électrique. De quoi profiter d’un amorti très correct des chocs et d’une filtration efficace des aspérités de la route.
Performances
Le Voltaire Rivoli est un vélo doté d’une transmission à courroie et d’un moteur moyeu arrière. Une combinaison qui, normalement, empêche la présence de vitesses. Sauf qu’ici, le moteur arrière est un Bafang de la série H700 disposant de la technologie Dual Speed. En d’autres termes, c’est un moteur arrière tout ce qu’il y a de plus classique (il développe ici un couple de 45 Nm), mais qui intègre deux vitesses.
Sur le papier, on bénéficie des avantages de la courroie (silence, propreté, entretien réduit et durabilité) avec un moteur arrière en améliorant la polyvalence du vélo. Ce qui est intéressant, c’est que tout est automatique. Le vélo est équipé d’un capteur de couple au niveau du pédalier pour ajuster la puissance fournie par le moteur en temps réel, tandis que les rapports changent tout seul.
Lorsque l’on atteint 21 km/h environ, la vitesse supérieure s’enclenche sans que l’on n’ait rien à faire, et quand on on repasse sous les 21 km/h et que l’on arrête de pédaler, le vélo redescend sur la plus petite vitesse. C’est donc presque transparent pour l’utilisateur. On ressent simplement un petit à-coup lors du passage de la vitesse supérieure, qui révèle d’ailleurs un léger manque de grip au niveau des pédales sachant qu’il n’est pas rare d’avoir les pieds qui glissent légèrement à ce moment-là.
Le Rivoli est un vélo assez lourd, donné par la marque à 24,9 kg. Il est plus lourd que les Legendre et Bellecour, pesant respectivement 21,9 et 21,5 kg. Une prise de masse qui s’explique notamment par la présence d’une batterie plus grosse, un moteur plus lourd ou encore des pneus plus volumineux et donc forcément plus lourds également.
Nous avons pesé notre modèle de test à 28 kg. Un surpoids de 3 kg qui s’explique par la présence d’un panier avant et d’un porte-bagage en acier. Et c’est vrai que c’est un beau bébé, dont on ressent bien le poids dès lors qu’il faut le manipuler à la main, ne serait-ce que pour monter quelques marches en le prenant à bras. Mieux vaut être assez costaud.
Un poids qui a également une incidence sur le comportement du vélo sur la route. Un vélo sur lequel, on l’a dit, on est assez haut et dont l’empattement est assez conséquent. Des caractéristiques associées à des pneus généreux qui font du Rivoli un vélo stable et rassurant, mais qui en contrepartie n’est pas des plus dynamiques dans sa maniabilité. C’est d’autant plus frappant quand on se contente de l’assistance un peu faiblarde du mode Eco, qui compense uniquement le poids du vélo sur le plat.
Il faut en effet passer sur le mode Ride (intermédiaire) ou – mieux encore – le mode Boost, pour profiter à plein d’un regain de fougue apporté par le moteur électrique. Le vélo gagne alors en vivacité et fait presque entièrement oublier son poids, sachant que le moteur arrière est bien pêchu dans son mode le plus puissant. Les démarrages deviennent alors vraiment plaisants, les 27 km/h sont atteints en quelques tours de pédales, les relances sont assez vives, tandis que même les cotes assez longues et marquées s’avalent sans décélérer, ou presque.
Notons d’ailleurs que si la législation requiert une coupure de l’assistance électrique sur les vélos à 25 km/h, une marge d’erreur de 10 % est tolérée, ce qui profite à ce vélo sur lequel on est assisté jusqu’à 27,5 km/h. Ce n’est pas grand chose, mais cela permet régulièrement d’évoluer en tête de peloton dans la circulation, ce qui – parfois – permet d’être davantage en sécurité. Et puis cela raccourcit légèrement les longs trajets.
Cette vivacité du moteur se marie extrêmement bien avec l’utilisation des deux vitesses intégrées. Les premiers coups de pédales sont très faciles, les relances se font également sans effort, tandis que lorsque l’on est lancé, le passage au plus gros développement permet de limiter la fréquence de pédalage de manière à améliorer le confort du cycliste urbain, qui n’est – sur un Rivoli – pas dans une recherche de performance sportive.
Un bémol néanmoins, si l’étagement de ce système est cohérent tant qu’on reste dans le cadre de l’assistance électrique, on lâche naturellement le pédalage dès que l’on prend un peu de vitesse au-delà. En effet, dès que l’on dépasse les 30 km/h, on a déjà l’impression de pédaler trop vite, dans la semoule. Mais là encore, ce n’est pas vraiment significatif vu le programme du vélo et le public auquel il s’adresse.
On retiendra surtout que le Rivoli trouve en dynamisme grâce à son moteur ce qu’il perd en maniabilité à cause de sa géométrie et de son poids. En définitive, l’expérience de pilotage est assez équilibrée. Ce n’est pas le plus fun des vélos de ville à manœuvrer, mais c’est un vélo électrique qui reste plus dynamique que ne peut le faire penser son look.
Pour arrêter le Rivoli, on peut compter sur des freins à disque hydrauliques de chez Shimano. Des modèles Alfine à deux pistons et disques de 160 mm qui suffisent amplement à bénéficier d’un freinage progressif et d’arrêts nets et mordants en cas d’urgence. Rien à dire à ce niveau là, d’autant plus que ces freins standards faciliteront les changements de plaquettes.
Equipement
L’interface du vélo reste assez simple, l’utilisateur n’étant pas noyé sous les commandes ou les informations. La présentation du cintre est assez épurée, avec simplement les deux leviers de freins de part et d’autre, une grosse sonnette Crane installée sur la gauche et la commande du moteur Bafang – portant le logo Voltaire – sur la droite.
Cette petite commande permet d’allumer/éteindre le moteur, gérer l’éclairage et changer de mode d’assistance, tout en ayant accès aux données principales de ses déplacements (distance parcourue, vitesse instantanée, vitesse moyenne, etc.). L’affichage se fait sur un petit écran LCD couleur dont on regrette simplement le manque de contraste, ce qui lui fait perdre en lisibilité par temps ensoleillé.
Au-delà de ça, cette interface est suffisamment complète tout en restant extrêmement simple. Allumage, éclairage, trois modes d’assistance, et il n’y a plus qu’à rouler. Tout le monde s’en sortira, même les cyclistes débutants. Sachant que les vélos Voltaire ne sont pas connectés. Il n’y a pas besoin de s’encombrer d’une application. Il n’y a pas de fonctionnalités avancées hébergées dans le cloud. Non, on reste sur une utilisation très terre à terre.
Voltaire Care, pour assurer son Rivoli
Un petit mot concernant Voltaire Care, l’assurance proposée par Voltaire à la commande d’un vélo Rivoli, en partenariat avec Estaly. Si le vélo n’est pas géolocalisé ou protégé numériquement contre le vol, il est néanmoins possible de l’assurer grâce à un contrat proposé à ses clients par la marque. Il en coûte 209 € pour un an, 409 € pour deux ans et 539 € pour trois ans, sachant que le vélo est remboursé sans décote à sa valeur d’achat pendant 2 ans, qu’il n’y a pas de franchise pour la casse et 5 % du prix du vélo pour le vol.
Le Rivoli est, sinon, livré prêt à affronter les déplacements du quotidien. Il est équipé de garde-boues enveloppants. Celui monté sur la roue arrière intègre (un peu trop) discrètement un petit éclairage renforçant la visibilité. A l’avant, le vélo est équipé d’un phare led orientable à large faisceau qui manque un poil de puissance dès lors que l’on quitte les axes bien éclairés. Bon point, sur notre modèle, il est déporté à l’avant du panier pour conserver son efficacité.
Le vélo est également doté, de série, d’une béquille centrale et d’une antivol de roue Axa. Encore un bon point, la clé est unique : elle permet à la fois de verrouiller cet antivol et la batterie. Cet antivol de cadre est, par ailleurs, compatible avec les chaînes plug-in.
Viennent ensuite les options. A la commande du vélo, cinq sont proposées. Le porte-bagages équipant notre modèle de test et supportant 27 kg est vendu 95 €. Le panier avant, également installé sur notre vélo, vaut lui la somme de 119 €. La chaîne Axa de 110 cm de long coûte 55 €, tandis que l’on peut aussi opter pour un siège bébé Urban Iki (99 €) et pour une seconde batterie (449 €).
Notons que le cadre du vélo ne présente aucun œillet pour monter des accessoires. Dommage pour la praticité, mais ses lignes seront préservées. On remarque toutefois la présence de quatre points d’accroche au niveau du tube de direction, à propos desquels nous avons interrogé la marque : c’est bien ce que l’on pensait, Voltaire travaille sur un rack avant avec une finition bois en alternative au panier. Ce nouvel accessoire optionnel devrait être proposé dans quelques semaines.
Autonomie et charge
Contrairement aux Legendre et Bellecour équipés d’une batterie de 360 Wh, le Rivoli bénéficie d’une nouvelle batterie dont la capacité augmente sensiblement puisqu’elle atteint 540 Wh. L’autonomie annoncée par la marque passe ainsi d’une fourchette allant de 40 à 70 km à une estimation plutôt comprise entre 60 et 100 km.
Rappelons que l’autonomie d’un vélo électrique dépend d’une foultitude de paramètres, qui vont du poids du pilote à sa forme physique, en passant par les conditions météos (température, vent…) et la nature du terrain (dénivelé notamment). Dans ce contexte, nous essayons toujours de varier nos tests d’autonomie, en commençant par un cycle complet sur lequel on s’arrange pour faire travailler le moteur dans son mode d’assistance le plus élevé. Le but étant de pouvoir se faire une idée du rayon d’action minimal du vélo.
En mode Boost, le Rivoli nous a permis de parcourir environ 55 km, sur des trajets majoritairement urbains avec peu de dénivelé. C’est un bon score, sans être incroyable. C’est typiquement l’autonomie que l’on s’attendait à mesurer sur ce type de vélo, avec cette motorisation et la capacité de cette batterie.
Sur un second cycle de charge, en privilégiant le mode intermédiaire (Ride), nous avons parcouru à peu près 70 km avant de devoir recharger. A noter néanmoins que peu importe le mode choisi, lorsque l’on passe sous les 10 % de batterie, le vélo réduit drastiquement le niveau de l’assistance électrique fournie. Dans ce cas de figure, peu importe que le petit écran de la commande moteur indique Boost ou Ride, on se retrouve avec le niveau d’assistance fourni en mode Eco, très poussif (surtout face à la moindre montée).
Certains vélos adoptent ce fonctionnement pour maximiser l’autonomie du vélo sur la fin de la batterie, afin de s’assurer que le cycliste pourra bénéficier du moteur aussi longtemps que possible et arriver à destination. Cela s’entend, mais c’est un fonctionnement avec lequel nous avons toujours un peu de mal, compte tenu du fait que le cycliste pourrait très bien gérer lui-même l’autonomie restante, et vouloir – par exemple – s’offrir un gros coup de boost en côte alors qu’il est presque arrivé à bon port, même s’il n’a plus que 8% d’autonomie.
Ce n’est pas plus un problème que ça une fois que l’on est au courant, mais il nous fallait le signaler. Il faut simplement gérer la fin de la batterie comme une « réserve » et ne plus tenir compte du mode sélectionné sur la commande.
Une batterie qui est par ailleurs lourde, encombrante et longue à charger. Cylindrique et intégrée dans le tube de selle, elle pèse en effet 3,3 kg et mesure 51 cm de long. Si elle dispose bien d’une petite sangle qui facilite son retrait et son transport, c’est une batterie qui va être compliquée à garder avec soi. Elle est bien sûr protégée par une serrure à clé.
Quant au temps de charge, nous l’avons mesuré à 8 heures environ avec le chargeur 2 A fourni. C’est long, et il ne faudra pas oublier de brancher sa batterie la nuit pour repartir avec une pleine charge le lendemain matin. On regrette aussi que la batterie n’intègre pas de petit indicateur de niveau de charge. Le cadre du vélo ne propose par ailleurs pas de port de charge, et ne peut donc pas être branché directement au secteur (c’est pourtant le cas sur les autres modèles de la marque). Notons tout de même que Voltaire va proposer, en option, un chargeur rapide 4 A qui facilitera les rechargements d’appoint le temps d’un rendez-vous ou d’un déjeuner, par exemple.
Conclusion
Pour
- Look singulier et assumé (qui peut déplaire).
- Finitions avenantes.
- Pneus qualitatifs.
- Simple à prendre en main.
- Moteur efficace, adapté à la ville.
- Silence et entretien simplifié par la courroie.
- Autonomie correcte.
Contre
- Pédales au grip perfectible.
- Un vélo lourd à manipuler.
- Compteur peu lisible au soleil.
- Eclairage arrière un peu trop discret.
- Batterie lourde et encombrante.
- Temps de charge.
Note
Le style rétro chic du Voltaire Rivoli est clivant. Certains adorent, d'autres détestent. Une chose est sûre, il ne passe pas inaperçu. Autre enseignement de notre test, c'est un bon vélo de ville électrique, simple dans son approche, facile à prendre en main, efficace grâce à sa motorisation volontaire à deux vitesses automatiques. Le pédalage est naturel, le côté détendu de la position est redynamisé par l'agrément du moteur et l'autonomie est correcte. Bénéficiant de finitions travaillées, le vélo est globalement bien pensé et particulièrement silencieux. Il reste tout de même lourd et sa batterie n'est pas pratique, ce sont ses deux principaux défauts.
Confort
Performances
Equipement
Autonomie
Caractéristiques
-
Prix2790 €
-
Matériau cadreAluminium
-
Fourche
Rigide, aluminium
-
Position moteurMoyeu arrière
-
MoteurBafang H710
-
Couple moteur45 Nm
-
Capacité batterie540 Wh
-
Diamètre de roue26"
-
Pneus
-
Jantes
Jantes Mach1 double paroi
-
Type de freinsDisque hydrauliques
-
Freins
Shimano Alfine
-
Vitesses2
-
Dérailleur arrière
Vitesses intégrées au moteur Bafang
-
Chaîne
Courroie carbone
-
Tige de selle suspendueNon
-
Garde-boueOui
-
Antivol de cadreOui
-
Porte-bagageOui
-
Poids24.9 kg
En banlieue parisienne, ce quadra père de 2 enfants pratique le vélo au quotidien de manière (assez) sportive, sur route et en dehors. A des envies de longues randonnées à la découverte de nouveaux paysages.