Vélo et société

O2feel, Douze Cycles, Moustache et Larrun choisissent Ocode pour le marquage des vélos

Le passeport numérique mis en place par la société nantaise Ocode a séduit quatre nouveaux acteurs du cycle : O2feel, Douze Cycles, Moustache et Larrun. Le marquage Ocode se démarque par l’intégration de données supplémentaires (facture, carnet d’entretien, etc.).

Le petit code sous forme de nuage permet d’accéder à l’ensemble des informations du vélo (propriétaire, facture, carnet d’entretiens, conseils, etc.). ©Ocode

En bref

  • O2feel, Douze Cycles, Moustache et Larrun ont choisi le marquage Ocode
  • Déjà utilisé par Bicycode, Decathlon et la Manufacture du Cycle, Ocode compte 1,5 million de vélos enregistrés.
  • Le passeport numérique permet de regrouper toutes les informations sur la vie de vélo (propriétaire, facture, carnet d’entretien, etc.).

La société Ocode a été choisie par O2feel, Douze Cycles, Moustache et Larrun pour marquer leurs vélos neuf. Rappelons que le marquage est obligatoire pour tous les vélos neufs depuis janvier 2021. Le code unique Ocode est sous forme de nuage de point. Il peut se coller, se graver ou s’imprimer sur le cadre du vélo. Ce code permet d’identifier le propriétaire du vélo, mais aussi, et surtout, et c’est sur ce point que se démarque Ocode, d’associer des informations complémentaires sur le vélo comme la facture d’achat, le carnet d’entretien avec les différentes opérations réalisées ou encore des conseils d’entretien grâce au passeport numérique.

La société revendique déjà plus de 1,5 million de vélos enregistrés. Il faut dire qu’elle a été choisie par des points lourds du secteur comme Bicycode, Decathlon ou encore La Manufacture du Cycle (Intersport, Sunn, EXS, TVT).

Le passeport numérique qui suit la vie du vélo

Dès l’achat du vélo, le client obtient des codes sécurisés permettant d’activer le passeport numérique du vélo. Ce dernier intègre toutes les informations sur le vélo : la facture, les garanties et également le carnet d’entretien avec les opérations réalisées et celles à venir.

“Le passeport numérique Ocode n’est pas une technologie intrusive. Jamais nous ne communiquerons de nous même avec le propriétaire du vélo, en revanche nous serons en capacité de communiquer avec le vélo. Les données du propriétaire sont anonymes et protégées mais si le propriétaire souhaite communiquer avec nous via sa clé digitale, il pourra le faire”

Xavier Moleux, Directeur Marketing chez O2Feel.

Même son de cloche du côté de Moustache :

“Ce partenariat entre Moustache et Ocode permet de garantir l’authenticité des événements les plus importants tout au long de la “vie” du vélo : ainsi un possesseur de Moustache sera en mesure de prouver qu’il est le propriétaire légal du vélo et pourra valoriser l’ensemble des opérations de maintenance réalisées chez un revendeur officiel, qui agit alors en tiers de confiance. Un vrai plus lors de la revente du vélo.”

Anthony Millot, Digital Marketing Manager chez Moustache.

et chez la toute jeune société basque Larrun :

“Le passeport digital représente une étape clé dans l’amélioration de la relation entre nos vélos et leurs propriétaires. Avec Ocode chaque vélo obtient une identité numérique distincte, garantissant son origine, son authenticité et son appartenance.“

Sophie Schuhmacher, Responsable Marketing et Communication chez Larrun.

Sur le papier, le passeport numérique Ocode semble une très bonne initiative pour regrouper sur un même support tous les papiers concernant le vélo, notamment pour l’historique de l’entretien qui devient de plus en plus important sur les vélos électriques. Ce passeport permet d’avoir une trace certifiée des réparations effectuées puisque ce sont les revendeurs qui ajoutent directement les opérations réalisées sur le vélo en agissant comme un tiers de confiance. Ce passeport numérique pourrait s’imposer pour la revente des vélos électriques d’occasion comme une véritable plus-value par rapport aux modèles qui en sont dépourvus.

  • Publié le 24 décembre 2023

Amateur de vélo aussi à l'aise sur une roue que sur deux. Mon objectif : informer avec passion.

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