Test – Ellipse E2 ST : un vélo électrique configurable convaincant
Dans l’Aube, la jeune société Ellipse assemble son E2 ST, un VAE à cadre ouvert configurable plutôt attractif. Nous l’avons mis à l’épreuve à l’occasion d’un test en bonne et due forme. Verdict.
Pour
- Assez léger et dynamique.
- Souple et silencieux.
- Configurations possibles pertinentes.
- Fonctions avancées bien pensées (clignotants, alarme…).
- Finitions qualitatives.
- Autonomie satisfaisante.
- Option de géolocalisation efficace.
Contre
- Option de géolocalisation assez chère.
- Absence d’œillets sur le cadre.
- Certains trouveront l’écran trop petit.
- Béquille trop courte.
Nous avons décidé de bonifier la note de cet Ellipse E2 ST pour récompenser ses fonctions avancées bien implémentées, son travail réussi sur les finitions et son aspect configurable. Il le mérite bien, lui qui dans cette config’ courroie, fourche rigide et pneus ville se mue en allié vif, élégant et rassurant pour ses trajets urbains. Un VAE pertinent proposé à un tarif attractif, même si certaines options peuvent rapidement faire monter la note. Dommage d’ailleurs que l’option de géolocalisation soit assez chère.
Présentation
Ellipse est une marque française installée près de Troyes, dans l’Aube, où elle assemble ses vélos. Nous l’avions découverte pour son vélo M1.2, un vélo musculaire polyvalent, configurable, qui embarquait quelques fonctions avancées telles que des clignotants et un feu stop, ou encore une option de géolocalisation. L’E1 était son pendant électrique, tandis que l’E2 ST que nous testons ici est le dernier vélo de la marque. Il est aussi le plus abouti.
C’est un vélo électrique à moteur arrière qui reprend à son compte les principaux arguments d’Ellipse, à commencer par la personnalisation de son vélo à la commande, ce qui permet de l’adapter à ses envies et ses besoins. Le vélo que nous testons, c’est nous qui l’avons configuré avec une fourche rigide, des pneus ville et une transmission à courroie, partant dans l’idée d’en faire un vrai VAE citadin agile et dynamique.
Ceux qui cherchent un vélo plus polyvalent ou plus confortable pourront opter pour une fourche avant suspendue (50 mm de débattement ; + 89 €), des pneus tout chemin plus larges issus de l’univers gravel (WTB Raddler 45c ; + 48 €) et une transmission à chaîne 9 vitesses avec un dérailleur Shimano Cues. Idem pour la couleur du cadre, Ellipse propose de base trois coloris basiques (blanc, noir, bleu pétrol) mais également la possibilité d’opter pour l’une des 12 autres teintes, plus originales, à condition d’accepter de payer 48 € et de patienter deux semaines de plus avant de recevoir son vélo.
Outre divers accessoires allant du choix d’un antivol à celui de ses paniers (à la norme AVS), citons la possibilité de remplacer le porte-sacoche minimaliste pour un vrai porte-bagages avec feu stop et clignotants intégrés pour 135 €, et celle de géolocaliser son vélo et être notifié de ses mouvements sur son smartphone avec une application dans le cadre d’une option connectivité proposée à 198 € (+ 49 € d’abonnement par an au-delà de la première année).
Le prix de base du vélo est de 2490 €, ce qui est plutôt en phase avec la concurrence sur un marché où l’on trouve d’autres VAE urbains français aux propositions proches (on pense notamment au Shift 2 vendu 2290 €, au Promenade d’iWeech vendu 2495 € ou encore au vélo de Vefaa en précommande à 2500 €). Là où Ellipse se démarque, c’est avec son configurateur qui permet d’adapter le vélo à ses envies ainsi qu’avec les petites singularités du vélo du côté de l’éclairage ou de la connectivité. Bon point, la marque offre également 5 ans de garantie.
Confort
L’Ellipse E2 ST dispose d’un cadre aluminium en taille unique, devant convenir aux cyclistes mesurant entre 1,55 et 1,95 m. Vous le savez certainement, dans le milieu du vélo « ST » signifie « Step Through » et fait référence à la forme du cadre en col de cygne, ouvert, pour faciliter l’enjambement (y compris lorsque l’on porte une jupe ou un pantalon serré et qu’il peut être délicat de passer la jambe par dessus la selle). Ici, la hauteur d’enjambement est de seulement ah 38 cm. On monte et descend du vélo sans aucun souci.
Ce cadre est fabriqué en Asie à base de tubes soudés, mais Ellipse obtient un résultat très esthétique grâce à un dessin simple, élancé, qui reste épuré grâce au passage interne des câbles. Mieux, toutes les soudures sont mastiquées et polies ce qui donne au vélo un véritable aspect premium et très travaillé. Le travail de peinture n’est pas en reste, alors que l’intégration du logo de la marque est très sobre. Bref, c’est un joli vélo, bien fini. Notre modèle de test est donc équipé d’une fourche rigide, elle aussi en aluminium.
Pour convenir à un maximum de cyclistes aux morphologies différentes, l’Ellipse E2 ST fait le choix d’une potence réglable en inclinaison, ce qui permet de moduler la hauteur du guidon sur quelques centimètres et trouver la position la plus agréable pour soi. La hauteur de selle se règle quand à elle grâce à un collier de serrage joliment intégré au tube de selle, à l’aide d’une clé à six pans avec un trou en son centre. C’est tout bête, mais on retrouve également de la visserie antivol sur les axes des roues par exemple, ce qui permet de mieux protéger les composants critiques du vélo.
Le cintre est relativement épuré. Bien incurvé sur l’arrière, il invite à adopter une position détendue sur le vélo sans trop compromettre la précision du pilotage. On y trouve les deux leviers de freins et, discrètement intégrés, les deux boutons latéraux qui servent à actionner les clignotants ou à verrouiller/déverrouiller le moteur. Sur la gauche, la petite commande moteur est elle aussi plutôt discrète.
Ce guidon est équipé de poignées ergonomiques en caoutchouc qui offrent un confort assez sommaire, mais ont l’avantage de proposer un excellent grip. Il se termine par les deux éclairages orangés qui font office de rappel des clignotants qui sont, sinon, intégrés à l’arrière des haubans.
Nous avons, pour rappel, fait le choix d’un vélo entièrement rigide, avec des pneus ville. Ces derniers sont des Michelin Protek de 38 mm de large, à bandes réfléchissantes et bénéficiant d’une protection renforcée contre les crevaisons. Leur volume d’air est correct mais on ne peut pas comparer leur filtration avec ce que proposent par exemple de gros pneus ballons typés ville (on pense aux Continental Contact Urban ou aux Schwalbe Super Moto-X, par exemple).
Pour ne pas trop entamer le rendement et limiter le risque de crevaison par pincement, nous avons trouvé un bon compromis de gonflage autour des 3,5 bars, ce qui ne permet de ne bénéficier que d’une filtration limitée des aspérités de la route, notamment au niveau des bras.
Car en effet, au niveau des fesses et du dos, les choses sont beaucoup plus douces. Cela tient au choix d’une assiste Selle Royal Lookin à gel, que l’on plébiscite souvent pour son accueil très moelleux, appréciable sur un vélo de ville. Elle est complétée sur notre vélo de test par une tige de selle suspendue qui offre quelques centimètres de débattement parfaits pour améliorer le confort des trajets.
Performances
Ellipse évoque un poids démarrant à 19,8 kg sur son site Internet. Pourtant, avec notre configuration citadine, le vélo est en réalité un poil plus léger que ça. Nous l’avons pesé à 19 kg, batterie incluse. Bien sûr, il existe des VAE plus légers, mais c’est un bel argument en faveur de cet E2 ST qui est relativement facile à soulever lors des manipulations quotidiennes ou à porter pour gravir quelques marches.
Aussi, cela joue forcément sur le tempérament du vélo et son comportement. Il est en effet très roulant pour un VAE, aidé par ses pneus assez fins. Il profite donc à plein de l’assistance électrique pour offrir un excellent dynamisme.
Son moteur, on commence à bien le connaître, puisqu’il s’agit d’une unité arrière Mivice M080 qui développe jusqu’à 45 Nm de couple. Sur le papier, ce n’est pas ce qui se fait de plus coupleux, mais dans les faits ce moteur n’a aucun mal à accompagner le cycliste et à rendre cet Ellipse E2 ST très volontaire.
La vitesse limite de l’assistance électrique (25 km/h) est atteinte en quelques tours de pédales seulement tandis que les longues cotes prononcées ne lui font pas peur. C’est à peine si l’on est ralentit par les portions à 6-8 % que le vélo avale sans effort au-delà des 20 km/h. Pour un vélo destiné à la ville, c’est largement suffisant, surtout si l’on évolue dans une région à faible dénivelé.
Ce qui est appréciable, c’est que la transmission monovitesse à courroie et ce moteur accompagné d’un capteur de couple proposent une assistance progressive qui sait rester naturelle. Mieux, moteur et transmission sont très silencieux, ce qui permet de profiter d’un calme olympien lors de ses déplacements (en dehors de la folie des villes aux heures de pointe, évidemment…).
Ne disposant que d’un seul et unique développement (52-20), toute la polyvalence de ce vélo est apportée par ce moteur qui fonctionne selon trois modes d’assistance. Sans surprise, le mode 1 surcompense légèrement le poids du vélo sur le plat, le mode 2 est plutôt bien adapté aux déplacements quotidien tout en permettant de ne pas trop épuiser la batterie, tandis que le mode 3 est le plus punchy et celui que l’on activera dans les grosses cotes pour ne pas se fatiguer.
Comme toujours, c’est dans ce dernier mode que le vélo est le plus agréable à conduire, se montrant fougueux et maniable. Mais en réalité, le mode 2 est suffisant dans l’immense majorité des situations et confère déjà au vélo un très bon agrément de pilotage.
Il facilite notamment très bien les démarrages, y compris en cote, sachant que le développement permet d’allonger son pédalage en ligne droite jusqu’à 30 km/h environ avant que la cadence soit trop élevée. On l’a dit, pas trop lourd et bien roulant, le vélo permet en effet de dépasser assez facilement les limites de l’assistance électrique sur le plat si l’on a envie de se chauffer un peu les cuisses.
Certains retours sur ce vélo évoquent un développement un peu gros pour les démarrages en côte. En ce qui nous concerne, cela ne nous a pas gêné, d’autant plus que l’assistance est assez réactive pour aider le cycliste dès le premier quart de tour de manivelles. En revanche, il est clair que pour gagner en polyvalence, il vaudra mieux opter pour la transmission à dérailleur afin de pouvoir profiter de plusieurs vitesses.
En tout cas, on apprécie réellement la précision de la direction et le dynamisme du vélo qui égayent les trajets du quotidien, gommant l’aspect un peu ronronnant de certains VAE. Les pneus Michelin Protek que – personnellement – je roulais pour la première fois m’ont agréablement surpris, avec un bon grip en courbe et un comportement très sain sur sol mouillé, y compris lors des freinages d’urgence. Ceux qui voudraient profiter de pneus plus gros et polyvalent pourront monter jusqu’au 45c, largeur maximale acceptée par les garde-boues.
Les freins à disque montés par Ellipse sont des Shimano MT200 à commande hydraulique. On les connaît, ça fait toujours aussi bien le job entre progressivité quand il faut et mordant si c’est nécessaire. Pour la ville, c’est efficace et ils ont le mérite d’utiliser des plaquettes que l’on trouve (presque) partout, ce qui est un bon point pour l’entretien.
Sans vitesse et à courroie, ce vélo a d’ailleurs le gros avantage d’être quasiment sans entretien, avec une transmission qui ne bougera pas pendant plusieurs dizaines de milliers de kilomètres et ne s’encrasse pas.
Equipement
S’il dispose d’un support SP Connect intégré à la potence (sans toutefois proposer de port USB pour recharger son téléphone), l’Ellipse E2 ST n’est pas un vélo connecté. L’application sert essentiellement à l’option de géolocalisation, qui joue le rôle de traceur GPS et peut notifier son propriétaire en cas de mouvement du vélo (voir encadré).
Dans son utilisation quotidienne, le vélo se contente ainsi d’une petite commande toute simple, installée sur la gauche du cintre. Elle permet essentiellement de changer de mode d’assistance et de consulter quelques données basiques relatives au vélo (vitesse instantanée, kilométrage, batterie restante…). Elle est sobre et reste suffisamment lisible malgré sa petite taille.
La particularité du vélo, c’est sa gestion de l’éclairage avec la présence de clignotants. Ils sont activés par les petits boutons installés à portée de pouce de chaque côté. Ils permettent facilement d’activer et de désactiver les clignotants, qui se trouvent en bout de poignée et sur les haubans à l’arrière. Ces clignotants sont parfaitement visibles et améliorent la sécurité du cycliste sur la route.
Pour autant, même si nous sommes convaincus par cette option, on continue à indiquer ses changements de direction avec le bras, de crainte que les autres usagers de la route interprètent mal ces clignotants. Par habitude, mais aussi parce que nous avons pu constater au fil du temps que les gestes classiques du cycliste sont ceux qui sont le mieux compris des voitures et des piétons.
Ces petits boutons latéraux servent également à activer le feux avant et arrière. A l’avant, le phare est non seulement joliment intégré au tube de direction, mais il est également suffisamment puissant pour être vu et voir dans la nuit, en agglomération. Sur les tronçons sans éclairage public, c’est un poil juste même sur le niveau le plus puissant, mais ça passe.
En revanche, ce phare n’est pas orientable. Bonne nouvelle pour ceux qui sélectionneront l’option porte-bagages avant à la commande (+ 49 €), le rack installé est doublé d’un second éclairage. Cela compense le fait que l’éclairage de base n’éclairera plus grand chose si un panier est positionné devant. A l’arrière, le feu intégré au garde-boue intègre la fonction feu stop. En cas de freinage, il brille plus fort.
Ce n’est pas tout, les deux boutons permettent également d’activer une alarme lorsque l’on s’arrête. Un appui simultané de deux secondes sur les deux boutons active ce mode stationnement, qui déclenche un premier niveau d’alarme lorsque le vélo est touché, un second niveau plus audible s’il continue à bouger, et enfin un troisième niveau dans lequel le niveau sonore est plus strident tandis que tous les éclairages du vélo se mettent à clignoter.
C’est dissuasif mais en extérieur et en pleine ville, le niveau sonore de l’alarme nous semble un peu juste. Pour autant, cela attirera à n’en pas douter l’attention des passants tandis qu’une notification est envoyée via l’application. Evidemment, cela ne doit pas empêcher les propriétaires d’Ellipse E2 ST d’attacher solidement leur vélo lorsqu’ils le garent.
Afin de relancer le vélo, et déverrouiller son moteur, il faudra à nouveau appuyer longuement sur les deux boutons en simultané et entrer son code de sécurité pour s’identifier. Il s’agit d’une combinaison de 5 touches à réaliser avec ces deux boutons. Notez que seule l’authentification permettra de désactiver l’alarme une fois déclenchée. Aussi, il faut savoir que si l’alimentation moteur est coupée dans ce cas de figure, rien n’empêchera un éventuel voleur de pédaler et partir avec le vélo, sans assistance électrique.
Côté équipements, Ellipse a sinon bien fait les choses sur son E2 ST. Les garde-boues enveloppants en alu sont qualitatifs bien que celui présent sur la roue avant soit trop court à notre goût, le porte-sacoches est intégré avec soin et esthétisme (en plus de pouvoir porter 18 kg tout de même), les pédales sont assez larges et assurent un grip correct sur semelles en caoutchouc (moins évident en chaussures de ville) et la béquille latérale fait le job même si on la trouve trop courte.
Nous n’avions pas choisi d’option antivol de cadre mais il est tout à fait possible d’en installer un. En revanche, aucun œillet n’est présent sur le cadre pour permettre l’installation d’un porte-bidon ou d’un antivol pliant par exemple, dommage.
L’option traceur GPS, comment ça marche ?
La géolocalisation est un point sur lequel Ellipse a travaillé avec un parti pris intéressant : on conserve la simplicité d’usage du vélo mais on profite d’une localisation efficace. Ainsi, le système s’appuie sur une balise GPS (qui reste alimentée pendant des semaines même si l’on retire la batterie du vélo) et exploite également les réseaux Wi-Fi, les antennes mobiles et le bluetooth pour améliorer la précision de la localisation.
De ce que nous avons pu constater, la localisation du vélo est effectivement très précise et plutôt efficace en intérieur, ce qui est généralement plus compliqué pour les systèmes de géolocalisation.
Trois modes de fonctionnement sont proposés : standard (la position est envoyée dès qu’un mouvement est détecté, sans notification) ; sécurité (identique mais avec notifications en cas de mouvement) ; suivi (le vélo envoie sa position en continue). Le passage d’un mode à un autre se fait sur son smartphone en toute simplicité, et permet – en cas de vol – de passer sur le mode suivi pour savoir où se trouve le vélo en temps réel.
On l’a dit, cette option est facturée 198 € à la commande. C’est assez cher, d’autant plus qu’il faudra payer 49 € par an à partir de la deuxième année pour continuer à en profiter.
Autonomie et charge
L’E2 ST est le vélo d’Ellipse embarquant la plus grosse batterie, d’une capacité de 504 Wh. Elle est composée de cellules lithium-ion Samsung et adopte une format assez classique. Elle est longue de 43 cm et pèse 2,87 kg. Dommage, aucune sangle ou poignée ne vient faciliter son transport.
Le port de charge intégré permet de recharger la batterie lorsqu’elle est en place sur le vélo, ou en dehors. Bien sûr, cette batterie amovible est protégée par une serrure à clé, pour éviter qu’on ne se la fasse voler (même si le vol de batterie est un fléau qui se répand et que l’on conseille toujours de garder sa batterie avec soi lorsque le vélo est garé longuement en extérieur dans une zone à risque).
Une charge complète de cette batterie, de 0 à 100 %, nécessite un peu moins de 5 heures à l’aide du chargeur 3 ampères fourni. Mais combien de kilomètres permet-elle de parcourir ?
Sur un premier cycle de charge, en n’utilisant que le mode d’assistance le plus élevé, nous avons été en mesure de parcourir 63 km avant d’épuiser la batterie. Un score d’autonomie plutôt dans le haut du panier pour ce type de vélo avec une batterie de cette capacité, ce qui s’explique en partie sans doute de par le bon rendement des pneumatiques et le poids contenu du vélo. Notons néanmoins que sous les 10 % de batterie restante, le vélo limite la puissance de l’assistance pour maximiser l’autonomie restante.
Sur un second cycle, en ayant essentiellement eu recours au niveau d’assistance intermédiaire, il nous a été possible de faire un peu plus de 70 km. La fourchette de 60 à 100 km indiquée par Ellipse n’est donc pas farfelue, même si pour approcher les 100 km il faudra avoir des conditions très favorables (poids du pilote, dénivelé, météo) et se contenter du premier mode d’assistance.
Conclusion
Pour
- Assez léger et dynamique.
- Souple et silencieux.
- Configurations possibles pertinentes.
- Fonctions avancées bien pensées (clignotants, alarme...).
- Finitions qualitatives.
- Autonomie satisfaisante.
- Option de géolocalisation efficace.
Contre
- Option de géolocalisation assez chère.
- Absence d'œillets sur le cadre.
- Certains trouveront l'écran trop petit.
- Béquille trop courte.
Note
Nous avons décidé de bonifier la note de cet Ellipse E2 ST pour récompenser ses fonctions avancées bien implémentées, son travail réussi sur les finitions et son aspect configurable. Il le mérite bien, lui qui dans cette config' courroie, fourche rigide et pneus ville se mue en allié vif, élégant et rassurant pour ses trajets urbains. Un VAE pertinent proposé à un tarif attractif, même si certaines options peuvent rapidement faire monter la note. Dommage d'ailleurs que l'option de géolocalisation soit assez chère.
Confort
Performances
Equipement
Autonomie
Caractéristiques
-
Prix2490 €
-
Cadre
Col de cygne, 1 seule taille (1,55 à 1,95 m)
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Matériau cadreAluminium
-
Fourche
Rigide ou suspendue (Suntour SF15 Nex E25) au choix
-
Position moteurMoyeu arrière
-
MoteurMivice M080
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Couple moteur45 Nm
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Capacité batterie504 Wh
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Diamètre de roue28" (700)
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Pneus
Michelin Protek
-
Type de freinsDisque hydrauliques
-
Freins
Shimano MT2002
-
Vitesses9
-
Dérailleur arrière
Shimano Cues (ou Courroie en monovitesse)
-
Tige de selle
Rigide ou suspendue (en option)
-
Selle
Selle Royal Lookin
-
Potence
Réglable 70 mm (compatible SP Connect)
-
Garde-boueOui
-
Antivol de cadreNon
-
Poids19.8 kg
-
Eclairage arrière
Intégré
-
Eclairage avant
Intégré
En banlieue parisienne, ce quadra père de 2 enfants pratique le vélo au quotidien de manière (assez) sportive, sur route et en dehors. A des envies de longues randonnées à la découverte de nouveaux paysages.