Vélos pliants électriques Vélos pliants Mis à jour le 28 novembre 2024

Test – Eovolt Afternoon Pro : le vélo pliant électrique tout automatique

Avec son Afternoon Pro, Eovolt livre un vélo pliant électrique résolument urbain très réussi. En phase avec son approche faite de simplicité et d’efficacité, il coche presque toutes les cases du vélo électrique citadin parfait au quotidien.

Pour

  • Simplicité de pliage/dépliage.
  • Moteur performant.
  • Bonne autonomie.
  • Transmission à courroie et deux vitesses automatiques.
  • Design épuré et efficace.
  • Confort très honnête.
  • Composants de qualité (pneus, freins…).

Contre

  • Pas le plus compact une fois plié.
  • Assez lourd.
  • Format de batterie contraignant.
8.5

Si l’on met de côté son poids élevé et son encombrement qui est un peu supérieur à d’autres pliants 20″, l’Eovolt Afternoon Pro fait un sans faute en tant que vélo pliant électrique urbain. Moderne, pratique, extrêmement simple à utiliser, il réussit à garantir confort, plaisir de rouler et sécurité. Sa transmission à courroie est un vrai plus, les performances de son moteur sont idéales, l’autonomie est au rendez-vous. Quant au travail de design (finitions, gestion des câbles, système de pliage), il est particulièrement réussi.

Présentation

Eovolt est une marque française, spécialiste des vélos urbains pliants et compacts. Elle propose historiquement trois tailles de vélos : la série Morning (les plus compacts à roues de 16″), la série Afternoon (plus polyvalents à roues de 20″) et enfin l’Evening, un 24″ compact dont seule la potence et les pédales se plient pour gagner en encombrement.

Tous ces vélos de première génération ont récemment été rebaptisés « Origins » pour faire la place à l’arrivée des Eovolt de série « Pro », dont l’Afternoon Pro testé ici est le premier représentant (en attendant le Morning Pro prévu pour l’année prochaine).

L’Afternoon Pro est donc un vélo pliant électrique à roues de 20″, vendu 2999 € en quatre jolis coloris (gris anthracite, vert fumé, bleu minéral et taupe). Il est, de base, livré avec sa béquille et ses garde-boues, et peut se voir adjoindre en option un porte-bagages (50 €) et un rack avant au format dit « pizza » (50 €).

Son positionnement est donc plutôt premium, mais justifié de par le soin apporté à sa conception et – nous allons le voir – ses performances et sa praticité au quotidien. Il va être en concurrence avec des vélos tels que l’Ahooga Max (3500 €), le Brompton Electric G-Line (4000 €) ou encore, dans une catégorie inférieure, le Btwin E Fold 900 de Decathlon (1700 €).

Confort

L’Eovolt Afternoon Pro est un vélo en taille unique, disposant d’un cadre aluminium aux finitions soignées, affichant un design épuré très réussi. De notre point de vue, il colle parfaitement à sa philosophie de vélo très simple à utiliser au quotidien.

Outre un travail de peinture qualitatif et des soudures mastiquées et polies pour un rendu très esthétique, on apprécie surtout les efforts réalisés par la marque au niveau du passage des câbles. D’un point de vue visuel, c’est très agréable, mais cela a aussi le mérite d’éviter que les gaines et autres durites ne gênent les manipulations du vélo au quotidien.

Grâce au réglage de la hauteur de selle et à deux tailles d’entretoises permettant de moduler la hauteur du guidon, les cyclistes jusqu’à 1m95 doivent pouvoir adopter une position confortable. Mesurant 1m85, je ne me sens pas à l’étroit sur le vélo, ayant la place de pédaler et parvenant à trouver une position très satisfaisante.

J’ai préféré utiliser l’entretoise M pour conserver une position un poil plus engagée sur l’avant, que je préfère. Quant aux plus grands, ils pourront également retourner les pinces de maintien de la selle sur ses rails pour gagner quelques centimètres de sortie de selle.

Nous avons pu faire essayer le vélo à une personne mesurant 1m63 et a également su y trouver une position confortable. C’est donc une bonne nouvelle, l’Eovolt Afternoon Pro est un vélo que l’on pourra se prêter en famille ou entre amis sans difficultés.

Son cadre laisse également une belle impression de solidité, tout comme les nouvelles charnières automatiques qui permettent de plier le vélo en un rien de temps. C’est simple : si l’Afternoon Pro n’est pas le plus compact des vélos électriques pliants de 20″ avec des dimensions de 84 x 68 x 45 cm (à comparer aux 72 x 67 x 41 cm d’un Brompton G-Line ou aux 73 x 70 x 44 cm d’un Ahooga Max), c’est en revanche le plus facile et rapide à plier.

Pour ainsi dire, il n’y a même pas de phase d’apprentissage tant c’est naturel. On tire sur la languette de la charnière centrale, on ramène la roue avant vers l’arrière en prenant soin de glisser le petit aimant au bon endroit, et le tour est joué. Il n’y a plus qu’à « dégoupiller » la potence pour la rabattre, abaisser la selle et rentrer les pédales pliantes.

Et dans l’autre sens, c’est encore plus rapide car ces charnières automatiques « claquent » et se ferment toutes seules en dépliant la colonne de direction et le tube central. C’est vraiment bien vu, d’autant plus que s’il reste assez encombrant, le vélo tient bien une fois plié, que ce soit sur sa béquille centrale ou l’extrémité du tube de selle, qui cache la batterie. Tube de selle qui a le bon goût d’être gradué pour permettre à chacun de retrouver facilement le bon réglage.

Il se pousse également plutôt facilement, ce qui est salvateur pour le déplacer sans avoir à porter ses 22 kg (nous avons pesé notre vélo de test à 22,5 kg, et 23,2 kg avec porte-bagages et rack avant). Un poids assez élevé, mais le vélo a le bon goût d’intégrer une poignée dessinée dans son cadre pour faciliter les manipulations, lorsque l’on doit monter quelques marches avec par exemple.

A deux reprises, le vélo s’est ouvert inopinément pendant que nous le soulevions alors qu’il était plié. De petits couacs à mettre sur le compte de son aimant de maintien des deux roues, qui a toutefois prouvé son efficacité le reste du temps. Peut-être avons nous été trop brusques à ces moments-là, sans doute un coup à prendre aussi.

Plié, le vélo se range dans le bas d’un placard et trouve facilement sa place sous un bureau. Il facilite son transport dans le coffre d’une voiture. Se glisse entre les jambes dans les transports en commun aux heures de pointe. Trouve sa place dans un coin au restaurant. Bref, son format est certes moins pratique que celui d’un Eovolt Morning ou d’un Brompton traditionnel en 16″, mais on conserve au quotidien la plupart des avantages du vélo pliant. Il n’y a finalement que dans un TGV ou pour le glisser dans le coffre d’une petite citadine que l’on sera handicapé.

Côté confort, on le sait, l’aluminium n’est pas le matériau le plus souple. Et s’agissant d’un vélo pliant, on ne bénéficie d’aucune suspension. Pour autant, l’Eovolt Afternoon Pro parvient à nous transporter dans des conditions très honnêtes, grâce à ses poignées ergonomiques en caoutchouc, son assise Selle Royal Essenza Moderate et – surtout – ses pneus ballons Schwalbe Pick-Up de 54 mm de section.

Des pneus à gros volume d’air qui, en plus d’arborer des flancs réfléchissants et de proposer une excellente résistance à la crevaison, réussissent à gommer une bonne partie des aspérités de la route. Et ce d’autant plus qu’à vélo électrique, le moteur permet de gommer les pertes de rendement et que l’on aura donc moins de scrupule à les gonfler à une pression un peu plus basse pour bénéficier d’une meilleure filtration.

Soit dit en passant, ces pneus nous ont toujours rassurés de par leur très bon comportement au freinage et en courbe, même sur sol mouillé, et ont la capacité à rouler – aussi – sur chemins viabilisés sans aucun souci. L’Eovolt Afternoon Pro a un ADN très citadin, mais il ne sera jamais contre une petite balade bucolique tant que le sentier est bien entretenu.

Performances

Cet Eovolt Afternoon Pro est conçu pour faciliter le quotidien des cyclistes urbains. A ce titre, il n’y a pas que ses charnières de pliage qui sont automatiques. Son moteur arrière l’est aussi. En effet, il s’agit d’un Bafang Dual-Speed qui développe jusqu’à 45 Nm de couple et intègre un mécanisme permettant de proposer deux développements.

Nous connaissons ce moteur pour l’avoir déjà essayé lors de notre test du Voltaire Rivoli. Nous avions été plutôt convaincus par son fonctionnement et étonnés par sa puissance. Eh bien sachez que c’est encore mieux monté sur ce petit vélo pliant, qui bénéficie de par ses petites roues et son centre de gravité bas de toute la fougue de ce moteur électrique.

Avec ce moteur, le vélo n’a absolument pas peur des côtes, même chargé. Mieux, il délivre des démarrages et des relances véloces, qui couplées à son excellente maniabilité grâce à un faible empattement, en font un vélo au tempérament très joueur. De quoi aborder ses déplacements quotidiens avec une dose de fun.

Bien sûr, ce sentiment est décuplé dès lors que l’on roule avec le mode d’assistance maximal activé. Le vélo en compte cinq et les deux derniers niveaux sont vraiment performants. Le mode trois est bien équilibré et permet de rouler à une vitesse de croisière de 25 km/h sans transpirer en abordant sereinement toutes les petites bosses, tandis que les deux premiers niveaux sont à réserver au plat et aux moments où l’on souhaite mettre un peu plus de cuisses en économisant sa batterie. Un mode marche est aussi de la partie pour aider à pousser le vélo.

Le pédalage se fait, lui, tout en souplesse sur une transmission à courroie Gates CDN, avec des réactions proportionnées du moteur grâce à l’usage d’un capteur de couple. Pour rappel, la transmission à courroie est silencieuse, propre, durable et sans entretien. Sur un vélo urbain, et encore plus sur un vélo pliant que l’on manipule dans tous les sens, c’est un choix très intéressant. Le problème, c’est qu’avec une courroie et un moteur moyeu arrière, on doit généralement se contenter d’un développement mono-vitesse.

Cela simplifie la prise en main du vélo, mais cela a ses limites tant en termes de polyvalence que de cadence de pédalage. Raison pour laquelle les deux vitesses de ce moteur Bafang sont très intéressantes. Nous avions consacré une courte vidéo à son fonctionnement ici et, pour résumer, le moteur va changer de vitesse tout seul dès lors que l’on dépasse les 21 km/h. Le cycliste n’a rien à faire et ne ressent qu’un léger à coup dans son pédalage.

A l’inverse, lorsque l’on repasse sous les 21 km/h et que l’on arrête de pédaler, le système réenclenche seul la première vitesse, nous mettant ainsi dans les meilleures conditions pour un redémarrage ou une relance. De quoi grandement faciliter l’approche de débutants qui peuvent avoir du mal à correctement utiliser un dérailleur.

Ce système est pertinent, surtout en ville, lorsque l’on multiplie les freinages et les arrêts. Il facilite les démarrages, notamment en côte, et évite d’avoir à trop mouliner lorsque le pédalage s’allonge sur de longues lignes droites ou les faux plats descendants par exemple. Arrivé autour des 30 km/h, on arrête de pédaler car la cadence devient trop importante, mais cela permet en tout cas d’avoir un pédalage agréable et naturel sur toute la plage de l’assistance électrique.

Vivace et maniable, jamais intimidé par les montées, cet Eovolt Afternoon Pro est également un vélo rassurant lorsqu’il s’agit de mettre un gros coup de frein. Ses freins à disque hydrauliques Shimano MT200 associés à des disques de 160 mm de diamètre jouent parfaitement leur rôle. Ils sont progressifs lorsque l’on dose son usage des leviers et très mordants en cas d’urgence. Surtout que les gros pneus du vélo, avec une belle surface de roulement et une excellente adhérence, permettent de freiner très fort. Autre avantage, ce sont des freins très courants dont les plaquettes se trouvent partout, ce qui facilitera l’entretien du vélo.

Equipement

Le guidon de l’Eovolt Afternoon rappelle celui d’un Cowboy Cruiser. Il fait 600 mm de large, est légèrement incurvé vers l’arrière, et offre un bon mix entre position confortable, bonne prise en main de la direction et vivacité de pilotage. Il est relativement épuré et l’on trouve sur sa gauche la petite commande moteur Bafang.

Une fois encore, l’accent est mis sur la simplicité, avec un tout petit écran qui se contente des informations essentielles (vitesse et autonomie restante), sur lequel on vient cliquer sur la partie haute ou basse pour changer de niveau d’assistance.

La prise en main est aisée, d’autant plus que le maître mot du vélo étant l’automatisme, la gestion de l’éclairage se fait de manière autonome grâce à un capteur de luminosité ambiante intégré à cette commande.

Des éclairages confiés à l’avant à un phare Litemove 70 lux (orientable, suffisamment lumineux pour voir et être vu en ou hors agglomération, avec un cône de lumière assez large) et à l’arrière à un feu Litemove proprement intégré au tube de selle (sans fonction feu stop, malheureusement). Tous deux sont évidemment reliés à la batterie (ce qui n’était pas le cas du feu arrière sur l’ancienne version), et il est bien sûr possible de gérer manuellement leur allumage si on le souhaite.

Bien que moderne, l’Eovolt Afternoon Pro veut rester simple d’usage et la marque ne propose à ce titre aucune application. Ce qui n’empêche pas le vélo d’apporter des solutions aux plus geeks des cyclistes.

D’abord avec la présence d’un support SP Connect au niveau de sa potence, qui permettra de venir fixer son smartphone au guidon avec une coque ou une pince compatible. Cela permettra, par exemple, d’utiliser son application de navigation préférée à vélo. En revanche, il n’y a pas de port USB-C qui permettrait de le recharger en roulant.

Ensuite, avec un emplacement caché pour une balise Apple AirTag (ne comptez pas sur nous pour vous dire où il se trouve…). C’est malin, car cela permet à Eovolt de proposer une solution de géolocalisation du vélo et de lutte contre le vol sans avoir à développer tout un système propriétaire. Vous le savez, nous avons testé beaucoup de traceurs GPS dans un usage vélo et l’AirTag d’Apple reste l’une des plus économiques et satisfaisantes.

Du côté des équipements, c’est un satisfecit complet. Les garde-boues enveloppants sont bien intégrés et efficaces, complétés à l’avant par une bavette pour protéger les chaussures des projections. La béquille centrale est facile à déployer et maintien parfaitement le vélo en équilibre, les pédales pliantes disposent d’un grip satisfaisant et d’une surface d’appui correcte, tandis que l’on trouve sur le tube horizontal deux œillets qui permettront de fixer un porte-bidon ou un antivol pliant. Même le choix de la sonnette fait plaisir, il s’agit d’une petit bague discrète Knog Oi qui nous avait épatés lors de nos tests de sonnettes.

On l’a dit, porte-bagages et rack avant sont des options. Ceci dit, Eovolt a le bon goût de ne pas les vendre trop cher (50 € chaque), ce qui laissera à chaque utilisateur le soin de choisir la configuration qui convient à ses besoins. Ces deux accessoires sont très faciles à installer à l’aide de quatre vis et pourront être régulièrement démontés en quelques minutes seulement si on le souhaite.

Le porte-bagages offre une belle capacité de chargement puisqu’il accepte une charge de 25 kg, tandis que le « panier à pizza » supporte 10 kg à l’avant. Pour ne rien gâcher, ni l’un ni l’autre ne gènent le pliage du vélo.

Autonomie et charge

Comme d’autres fabricants de vélos électriques, Eovolt a fait le choix d’utiliser le tube de selle pour cacher sa batterie. Cette dernière, composée de cellules Samsung, affiche une capacité de 360 Wh.

Une quantité d’énergie plus qu’honorable pour un vélo pliant, à comparer aux 250 Wh de vélos tels que le Btwin E Fold 900 de Decathlon ou l’Ahooga Max par exemple. Dans la catégorie, le Brompton G-Line Electrique propose une batterie de 345 Wh, mais elle n’est pas intégrée au vélo.

Surtout, l’Afternoon Pro fait bon usage de sa batterie puisqu’il s’avère être plus endurant que son concurrent anglais. En effet, il nous a été possible de parcourir 43 km sur une charge complète en n’utilisant que le mode d’assistance maximal. Un test d’autonomie réalisé à l’automne en région parisienne (et donc sans trop de dénivelé), avec un pilote de 80 kg. Cela donne une idée du rayon d’action minimum du vélo. Pour comparaison, dans les mêmes conditions, nous avons parcouru 34 km au guidon du Brompton 20″.

Sur une seconde charge, en roulant essentiellement sur le niveau intermédiaire (3), nous avons approché les 55 km. Eovolt parle d’une autonomie pouvant aller « jusqu’à 70 km » dans des conditions optimales, et nous ne devons effectivement pas en être loin. C’est excellent pour un vélo de ce type.

La charge est, quant à elle, assez longue. Il faut compter un peu plus de 4 heures pour réaliser une charge complète de 0 à 100 %. Logique, le vélo est livré avec un chargeur 2 A. Ce dernier a l’avantage de rester assez compact, ce qui colle à la philosophie itinérante du vélo. On pourra ainsi le garder dans son sac et profiter d’un déjeuner ou d’un rendez-vous pour charger un peu le vélo si besoin.

Enfin, signalons que la batterie n’est pas des plus pratiques à transporter. Le format « tige de selle » est effectivement encombrant, notamment du fait de sa longueur (73 cm), de son gros diamètre et parce qu’il s’encombre de la selle du vélo. Ce qui fait que cette batterie est également lourde : 3 kg.

Elle a néanmoins le mérite d’être bien protégée par une serrure et d’exploiter un connecteur magnétique qui facilite sa mise en place. Son repositionnement à l’arrière du vélo par rapport au premier Afternoon où il était exposé aux projections et saletés est d’ailleurs bénéfique. On apprécie également que ce connecteur dispose d’une attache coulissante au dos de la tige de selle, pour ne pas gêner l’ajustement de sa hauteur.

Conclusion

Pour

  • Simplicité de pliage/dépliage.
  • Moteur performant.
  • Bonne autonomie.
  • Transmission à courroie et deux vitesses automatiques.
  • Design épuré et efficace.
  • Confort très honnête.
  • Composants de qualité (pneus, freins...).

Contre

  • Pas le plus compact une fois plié.
  • Assez lourd.
  • Format de batterie contraignant.

Note

8.5

Si l'on met de côté son poids élevé et son encombrement qui est un peu supérieur à d'autres pliants 20", l'Eovolt Afternoon Pro fait un sans faute en tant que vélo pliant électrique urbain. Moderne, pratique, extrêmement simple à utiliser, il réussit à garantir confort, plaisir de rouler et sécurité. Sa transmission à courroie est un vrai plus, les performances de son moteur sont idéales, l'autonomie est au rendez-vous. Quant au travail de design (finitions, gestion des câbles, système de pliage), il est particulièrement réussi.

Confort
8
Performances
8.5
Equipement
8.5
Autonomie
7.5

Caractéristiques

  • Prix
    2999 €
  • Matériau cadre
    Aluminium
  • Position moteur
    Moyeu arrière
  • Capacité batterie
    360 Wh
  • Diamètre de roue
    16"
  • Diamètre roue arrière
    16"
  • Type de freins
    Disque hydrauliques
  • Vitesses
    2
  • Garde-boue
    Oui
  • Antivol de cadre
    Non
  • Poids
    20.5 kg

En banlieue parisienne, ce quadra père de 2 enfants pratique le vélo au quotidien de manière (assez) sportive, sur route et en dehors. A des envies de longues randonnées à la découverte de nouveaux paysages.